Vidéo : Questlove “L’album de D’Angelo sortira bien en 2013″

Dans une interview filmée le 21 février dernier à New York lors de la Billboard Relaunch Party, Questlove a réaffirmé sa certitude que le troisième album studio de D’Angelo sortira bien en 2013. “Personne ne me croît quand j’en parle, mais je vous jure que l’album est presque terminé. Une chose est sûre : il sortira en 2013, je vous le promets.” Il reste donc neuf mois au batteur de The Roots pour voir ses déclarations validées.


Audio : Rock Candy Funk Party “Spaztastic”

Pour fêter son entrée dans le Top 5 du Billboard en catégorie jazz (!), Rock Candy Funk Party offre aux internautes un nouvel extrait de We Want Grooove, un album paru lundi dernier. Découvrez le speed-funk de “Spaztastic” en cliquant ICI.


Liane La Havas - 29Aug2012_Paris_Jazz VIllette_2

Vidéo : Lianne La Havas en concert au Trianon 19/02

Revivez le concert de Lianne La Havas donné au Trianon à Paris le 19 février dernier grâce à Arte Live Web. Découvrez également son dernier clip “Elusive” issu de son premier album Is Your Love Big Enough ?


Rock=Candy+Funk+Party+2014

Tal Bergman et Renato Neto vous invitent à leur Rock Candy Funk Party

We Want Grooove est le premier album détonnant de Rock Candy Funk Party, un combo de Los Angeles fan de jazz/funk et de rock estampillé 70’s regroupant le batteur-producteur Tal Bergman, le guitariste Ron DeJesus, Mike Merritt (basse), le virtuose de la six-cordes Joe Bonamassa et Renato Neto, clavier bien connu de la galaxie princière. Interview avec ce dernier et Tal Bergman, l’un des concepteurs en chef de la bombe jazz-funk-rock de 2013 !

Funk★U : Comment est né Rock Candy Funk Party ?

Tal Bergman : Rock Candy Funk Party  a démarré sous le nom Grooove Vol.1, que j’avais monté avec mon ami Ron DeJesus (guitare). Au fil des ans, Ron et moi avons joué un peu partout dans Los Angeles avec des configurations différentes. Il y a à peu près un an et demi, Joe Bonamassa et moi qui l’accompagne sur scène avions eu quelques jours de break de sa tournée mondiale. Joe est venu jammer avec nous au club The Baked Potato, c’était génial et nous avons donné quelques concerts en semble au cours de l’année. Entre temps, la tournée de Joe a repris et un soir, lors d’un long trajet en bus après un concert, nous avons eu l’idée d’aller en studio pour enregistrer des titres originaux dans l’esprit du jazz-funk des années 1970 et 80.

Renato, comment avez-vous intégré Rock Candy Funk Party ?

Renato Neto : J’ai travaillé sur différents projets avec Tal dans le passé. Nous avions produit et arrangé l’album de Rod Stewart Had it to Be You en 2000 et nous avons aussi compos deux musiques de films tous les deux, Dancing at the Blue Iguana en 2000 et Kill Me Later en 2001.

We Want Grooove est la suite de Grooove Vol.1, paru en 2007. Quelle est la différence entre cet album et le We Want Grooove de 2013 ?

T.B. : En gros, il n’y avait pratiquement que moi et Ron sur cet album. Nous avons appelé quelques amis, dont Renato et Fred Kron aux claviers et Les King à la basse sur un titre. L’ambiance de cet album était plus downtempo, un peu chill-out. De la musique pour le sexe ! We Want Grooove est une collaboration live entre cinq musiciens qui jouent dans la même pièce. On ressent plus l’interaction et nous sonnons plus comme un groupe sur ce nouvel album.

On entend beaucoup d’influences dans We Want Grooove, de Sly Stone aux Headhunters en passant par Jeff Beck, Led Zeppelin et Prince. Quels sont vos artistes favoris dans cette longue liste ?

T.B. : Pour ce disque, j’ai été très influencé par Herbie Hancock, Miles Davis, Earth Wind & Fire, Billy Cobham et bien d’autres.

Comment composez-vous ? Vos morceaux sont-ils le résultat de jams ou écrivez-vous chacun de votre côté ?

T.B. : Chacun apporte son groove et ses idées, mais un grand nombre de ces idées passent à la trappe dès qu’on se met à jouer. Nous avons l’habitude de changer de direction très rapidement en studio. On s’est rendus compte que les meilleures idées apparaissaient sur le moment.

R.N. : 100% de la création se fait dans la spontanéité, et pour arriver à ce moment, il faut jammer pendant de heures ! Mon rôle en tant que clavier a été d’apporter de la mélodie et des harmonies à tous ces grooves. Mes titres préférés de l’album ? « We Want Grooove », « Octopus-e » et « New York Song ».

Tous vos titres sont instrumentaux. Avez-vous l’intention d’intégrer un chanteur dans un futur proche ?

T.B. : (Rires).

Tal, vous êtes le producteur de We Want Grooove. Comment définiriez-vous votre rôle dans ce projet ?

T.B. : Il a d’abord fallu songer au concept d’album, puis rester dans le cadre de ce concept. La troisième chose, c’est qu’il fallait que chacun se sente dans son élément et puisse entendre l’autre. Le mix devait donc être parfait, car l’interaction entre les musiciens est cruciale dans ce type d’album. La dernière chose, c’était de juger ce qui était bon à garder ou pas.

Le morceau « We Want Grooove » sonne beaucoup comme le « Sexy MF » de Prince. Est-ce un clin d’œil ?

R.N. : Je joue depuis 11 ans avec Prince, mais « We Want Grooove »  n’est pas un clin d’œil volontaire à « Sexy MF ». Je n’y pensais pas du tout, le morceau s’est mis tout d’un coup à sonner comme ça, ça ne va pas plus loin.

T.B. : Lors des répétitions, j’ai eu l’idée de la partie de batterie pour une section intermédiaire du morceau. Finalement, cette partie est devenue le rythme principal du morceau final. C’est peut-être un hommage inconscient à Prince, mais c’est très bien car « Sexy MF » est un morceau génial avec des paroles géniales aussi !

Quel est le sens des 3 « o » de We Want Grooove ?

T.B. : Xtra « o » = « Xtra Grooove !!! »

Rock Candy Funk Party a-t-il l’intention de venir jouer en Europe ?

T.B. : Je démarre une nouvelle tournée mondiale avec Joe Bonamassa (avec un concert au Grand Rex le 1er avril, ndr). Pour ce qui est d’une tournée Rock Candy Funk Party, il faudra déjà coordonner les agendas de tout le monde, mais je suis sûr qu’il va se passer quelque chose bientôt.

Propos recueillis par Jacques Trémolin

 

Rock Candy Funk Party We Want Grooove (Mascot Records). Sortie le 18 février 2013 en CD, digital et LP. rockcandyfunkparty.com


Big Ol Session 2

The Big Ol’Nasty Getdown entre en studio pour “Volume 2″

Ryan Martinie (left), from MudVayne and Korn on bass and Jeffery Suttles (right), from Teena Marie, on drums.

Les sessions de Volume 2, le second album de The Big Ol’ Nasty Getdown, démarreront demain dans un châlet converti en studio d’enregistrement dans les montagnes d’Asheville, situées dans les Appalaches. John Heintz, bassiste et membre fondateur du groupe, a révélé les invités de cette super-session dont Funk★U se fera le relais au cours des prochaines semaines : de nombreux membres de Parliament/Funkadelic, Morris Day & The Magnificient 7even, Fishbone, Yo Mama’s Big Fat Booty Band, The Soular System, SciFi, The Sexual Chocolate Band (le groupe d’Un Prince à New York d’Eddie Murphy !) et divers participants des nu-métalleux de Korn et Mudvayne viendront prochainement contribuer au successeur de l’explosif Volume 1, qui vient tout juste de paraître en CD. À suivre…

Rappel : Volume 1, le premier album de The Big Ol’ Nasty Getdown (BONG pour les intimes) est disponible en CD via Paypal en cliquant sur bigolnastygetdown.com

Tori Ruffin (Morris Day & The Time/Freakjuice)

Norwood Fischer (Fishbone)

 


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Jamie Lidell “Je suis très tatillon sur les sons”

Après un Compass soul-pop très moyen, Jamie Lidell est de retour avec un album à son nom et à son image. Courte rencontre avec ce musicien polymorphe, aussi bavard que créatif.

Funk★U : Quelle serait ta définition du beat ?

Jamie Lidell : J’adorais Chic quand j’étais gosse. Étant gamin, j’avais besoin d’un bon beat pour me défouler. Et le beat, pour moi c’était Chic. Quand tu entends ”Good Times”, même maintenant, c’est fou. C’est marrant comme ces choses qui sont faites en studio sonnent d’une manière robotique. C’est marrant de voir comment les machines se sont intégrées dans le funk. Aujourd’hui, il y a toujours une machine dans le processus, sauf si tu es les Dap Kings, avec ce son super authentique. J’aime le mélange homme-machine, « Sex Machine »…

(”You Don’t Listen” de General Elektriks passe dans les enceintes de l’hôtel).

C’est repris de Escape From New York (John Carpenter, 1981), non ? Qui est-ce ? On avait l’habitude, du temps de Super Collider, de rentrer sur scène avec la version originale du morceau (il chante). Désolé, j’ai été distrait, un autre morceau ?

Que penses-tu d’un nouvel artiste comme Allen Stone ?

C’est le genre d’artiste qui peut aller loin. Je n’accroche pas vraiment avec le choix des arrangements. Ce n’est pas parce qu’il n’a pas de talent, mais je n’aime pas ce qu’a fait l’ingénieur du son. Quand tu entends une voix dans un enregistrement, c’est difficile de savoir quelles sont ses réelles capacités. Mais je suis sûr que si tu le voit en live, il est vraiment bon. C’est bizarre, j’ai été au American Idol et ils sont sympas ! Vraiment talentueux, il n’y a pas de doute. Mais c’était triste d’une certaine façon parce qu’on sait que seulement un ou deux feront une carrière et que les autres retourneront à leur vie d’avant. Ils goûtent à tout ce grand spectacle, c’est compliqué d’entrer dans le business. Je ne sais pas quel âge il a, mais c’est bon.

Tu produis aussi de jeunes artistes.

Oui, j’ai construit mon propre studio et j’ai fait deux albums en tant que producteur cette année. Un mec appelé Guillermo Brown qui fait une soul avant-gardiste. J’ai travaillé dur avec lui pour obtenir un son unique et différent de ce qu’on entend d’habitude. Et l’autre gars, Ludwig Persik, a 22 ans. On a fait des chansons plus classiques genre Lennon, T. Rex, David Bowie. Il voulait écrire et c’était cool de bosser avec lui parce que ses chansons sont vraiment solides. Il peut s’asseoir et prendre une guitare, ça sonne déjà comme une chanson finie. J’ai été bien occupé.

Comment vont ses passer tes concerts pour ton nouvel album ?

C’est différent à chaque fois, mais pour cet album ça va être complètement solo. Ce qui est étrange, parce que quand tu écoutes les chansons, tu entends tellement de sons que tu as l’impression qu’il y a un groupe de 12 personnes, genre Prince & The Revolution. Il y a des percus, des backing vocals... Mais comme je l’ai dit, je suis très tatillon sur les sons, alors, si je ne peux pas avoir le même son avec un groupe, je préfère presque être seul. Je me focalise sur le son de ma voix et sur le côté plus électro, je sens que c’est ce qu’il y a de plus important sur cet album, c’est plus intéressant pour les gens, je crois. Presque comme s’ils étaient sur le dancefloor avec moi…

Noé Termine (un grand merci à Queen Mafalda pour la retranscription’)

Jamie Lidell Jamie Lidell (Warp Records) Sortie le 18 février en CD, digital et double LP.


Funk★U #16 / Edition Collector Prince (ÉPUISÉ/SOLD-OUT)

Pour son premier numéro entièrement en couleurs, Funk★U s’offre un collector avec (entre autres), un portfolio de 18 pages 100% inédit du concert de Prince à Houston en février 1980, des interviews exclusives de Bobby Womack, The Brides of Funkenstein, Cody ChesnuTT, Shuggie Otis, Larry Graham, Allen Stone, sans oublier les rubriques habituelles (Top funk’n’soul, Classic track…).

Funk-U #16 / édition collector, sortie le 15 mars. 52 pages, 15€ (port compris).

SOLD-OUT

 

In its first-ever all-color issue, Funk★U magazine will release on March 15 a collector’s edition featuring a 18-pages portfolio of unseen Prince live pictures shot in Houston in February 1980, plus exclusive interviews with Bobby Womack, The Brides of Funkenstein, Cody ChesnuTT, Shuggie Otis, Larry Graham, Allen Stone and our usual features (Top funk’n’soul, Classic track…).

 

Funk-U #16 / Collector’s edition. Out March 15th. Format : 16,5 x 24 cm. 52 pages. Language : French. Price : 18€ (Europe shipping included. US/Japan : 21€).

SOLD-OUT

Sommaire

  • Prince/Houston 80

En novembre 1979, Prince s’embarque dans sa première tournée nationale, quelques semaines après la sortie de son deuxième album éponyme. Photographiés lors du concert donné à Houston au Sam Houston Coliseum le 24 février 1980, voici une série de clichés jamais vus capturant un Prince déjà au sommet de son attitude provocante, de son funk salace et de sa pilosité. Portfolio couleur 18 pages 100% inédit !

  • The Brides of Funkenstein

Au lendemain de la ressortie en CD de Funk Or Walk (1978) et Never Buy Texas From a Cowboy (1979), Dawn Silva et Lynn Mabry, les deux fiancées du Dr. Funkenstein, racontent l’histoire des noces troubles du P-Funk.

  • Bobby Womack

Fin 2012, Bobby Womack accordait une rare entrevue à Funk★U. L’occasion de retracer un parcours discographique en cinq chansons emblématiques de la carrière d’un des derniers géants de la soul music.

  • Cody ChesnuTT

Neuf ans après les expérimentations lo-fi The Headphone Masterpiece, Cody ChesnuTT est de retour avec Landing on a Hundred, un nouvel album en ligne directe avec la soul orchestrée du mitan des années 1970. Entretien avec un pourvoyeur de « real-life music. »

  • Allen Stone

Inconnu virtuel il y a encore quelques mois, ce Son of a preacher man publie aujourd’hui un deuxième LP éponyme 100% soulful et donne des concerts extatiques aux quatre coins du globe. Découverte d’une révélation.

  • Larry Graham

Quatorze ans après GCS 2000, l’inventeur de la slap bass a retrouvé le chemin du studio pour enregistrer Raise Up, un ensemble d’anciens et nouveaux titres où s’illustrent Prince et Raphael Saadiq.

  • Top Funk’n’soul

Allen Stone, HornDogz, Shaolin Temple Defenders, Rock Candy Funk Party, Alice Russell,Charles Bradley, Lena & The Deep Soul, Nicole Willis, Jimi Hendrix, Shuggie Otis, Vigon Bamy & Jay, Apple and the Three Oranges…

  • Classic Track

Shuggie Otis raconte l’histoire de « Strawberry Letter 23 »




Leon Ware

Live Report : Leon Ware, Paris (New Morning) 14/02/2013

Y-avait-il hier soir sur Terre un meilleur plan de Saint-Valentin qu’un concert de Leon Ware, l’inventeur du Musical Massage ? “Et en plus, j’ai amené l’huile”, s’amuse le lover égrillard de presque 73 ans qui passe son temps à zyeuter les ladies du premier rang comme d’autres passeraient leur set à lire le prompteur. Accompagné des valeureux Incognito et bataillant contre un mauvais rhume, le génial pigiste de Marvin Gaye, Quincy Jones et Maxwell a commencé par distribuer des coeurs en papier dédicacés avant de s’attaquer aux Himalaya sensuels de son répertoire, dont “After the Dance”, “I Wanna Be Where You Are”, “Musical Massage” et un superbe “I Want You” peu avant l’extinction des feux. Un New Morning généreusement rempli a même eu droit à un cadeau du groupe pour son leader, une version imprévue du “Thank You Early Bird” légué à Jerry Butler en 1976, ainsi qu’une cover torride du “Inside My Love” de Minnie Ripperton et, surtout, le plaisir d’avoir partagé une soirée avec une légende à la hauteur de sa réputation.

Setlist

  • Hold Tight
  • Rockin You Eternally
  • Why I Came To California
  • Musical Massage
  • Miracles
  • Thank You Early Bird
  • After The Dance
  • If I Ever Lose This
  • Inside My Love
  • Sumthin’ Sumthin’
  • I Wanna Be Where You Are
  • I Want You
  • Way With Love
  • Leon Solo/Piano & Vocals
  • Come Live With Me Angel
Vanessa Haynes et Leon ware

 


Chaka+Khan+BET+Honors+2013+Show+x97mXKnyFZ-l

Vidéo : Erykah Badu et Ledisi rendent hommage à Chaka Khan au BET Honors 2013

Lundi 11 février, Les BET Honors 2013 ont rendu hommage à Chaka Khan. Erykah Badu et Ledisi ont respectivement délivré devant l’ancienne membre de Rufus des versions personnelles de “Whatcha Gonna Do For Me ?” et un medley “Everlasting Love/Ain’t Nobody”. Un tribute 100% soul/R&B à revivre en vidéo ci-dessous.


Mardo Bump Society

The Mardo Bump Society en 45-tours collector

Marrrtin & Medline, beatmakers, djs et collectionneurs de disques, frappent de concert avec un 45 tours explosif disponible en tirage limité à 300 exemplaires. Après une année remplie de créations de grande qualité, les deux producteurs présentent une réédition très spéciale. Sorti d’un vieux bac de marché aux puces, le 7“ de The Mardo Bump Society et ses deux titres “Orange Thievery” et “Stick Up in Jewel Street” est une de leurs découvertes. Ce single de jazz-funk destructeur est à l’origine l’oeuvre du compositeur canadien Henry Mardo, aujourd’hui retravaillé et réédité par le label Stéréophonk bien connu pour sa série des Funky Bijou.

Infos : www.stereophonk.com, www.facebook.com/stereophonk


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Hommage à Jef Lee Johnson à Sons d’hiver le 22 février

Le festival Sons d’hiver rendra hommage à Jef Lee Johnson le 22 février à la maison des arts de Créteil en compagnie de Reggie Washington (basse), Jean-Paul Bourelly (guitare) et Patrick Dorcéan (batterie). Ce spectacle, proposé en première partie du concert du David Murray Big Band et de James “Blood Ulmer” sera intitulé Rainbow Shadows – Pensées pour Jef Lee Johnson. Toutes les informations ci-dessous.

Le communiqué officiel

Jef Lee Johnson aka Rainbow Crow devait jouer ce 22 février à Sons d’hiver. Il nous a quitté le 28 Janvier dernier. Sa disparition nous attriste beaucoup et nous regrettons déjà le fantastique musicien qu’il était, ayant honoré de nombreuses fois Sons d’hiver de sa présence. Nous tenons vraiment à avoir des pensées pour lui, au moment même où il aurait dû jouer sur la scène de la Maison des Arts de Créteil.

Cette première partie de soirée a donc été intitulée :

“RAINBOW SHADOW” – Pensées pour Jef Lee Johnson

avec

  • Reggie Washington (basse)
  • Jean-Paul Bourelly (guitare)
  • Patrick Dorcéan (batterie)

Reggie Washington (qui a joué avec Steve Coleman, Don Byron, D’Angelo, le Word Saxophone Quartet, Cassandra Wilson etc…) était un ami de Jef avec qui il formait un trio depuis plusieurs années. Pour ce 22 fevrier, il forme spécialement le “Rainbow Shadow” avec Patrick Dorcéan qui était le batteur du trio de Jef Lee Johnson et le grand guitariste Jean Paul Bourelly, qu’aimait beaucoup Jef Lee Johnson.

Infos et réservations


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Sam Cooke – The Complete Singles 1956-1962 (sortie le 12/02)

Le label Le Chant du monde publie aujourd’hui Sam Cooke – The Complete Singles 1956-1962, un coffret 3-CDs renfermant tous les singles enregistrés par Sam Cooke entre 1956 et 1962. Une production du collectionneur Gilles Pétard complétée par un livret bilingue français/anglais de 72 pages.

Tracklisting

CD 1
  • 1 Lovable
  • 2 Forever
  • 3 I’ll Come Running Back To You
  • 4 That’s All I Need To Know
  • 5 I Don’t Want To Cry
  • 6 Happy In Love
  • 7 I Need You Now
  • 8 For Sentimental Reasons
  • 9 Desire Me
  • 10 You Were Made For Me
  • 11 Lonely Island
  • 12 You Send Me
  • 13 Summertime (part 2)
  • 14 Stealing Kisses
  • 15 All Of My Life
  • 16 Win Your Love For Me
  • 17 Love Song From “Houseboat”
  • 18 Blue Moon
  • 19 Love You Most Of All
  • 20 Everybody Likes To Cha Cha Cha
  • 21 Little Things You Do
CD2
  • 1 Only Sixteen
  • 2 Let’s Go Steady Again
  • 3 Summertime (part 1)
  • 4 One Hour Ahead Of The Posse
  • 5 There, I’ve Said It Again
  • 6 No One (Can Ever Take Your Place)
  • 7 T Aint Nobody’s Bizness (If I Do)
  • 8 Wonderful World
  • 9 Along The Navajo Trail
  • 10 I Thank God
  • 11 With You
  • 12 Steal Away
  • 13 So Glamourous
  • 14 Mary, Mary Lou
  • 15 Ee-Yi-Ee-Yi-Oh
  • 16 Just For You
  • 17 Darling I Need You Now
  • 18 Win Your Love For Me
  • 19 If You Were The Only Girl
  • 20 Teenage Sonata
  • 21 You Understand Me
  • 22 I Belong To Your Heart
CD3
  • 1 Chain Gang
  • 2 I Fall In Love Every Day
  • 3 Sad Mood
  • 4 Love Me
  • 5 What Do You Say
  • 6 That’s It – I quit – I’m Movin’ On
  • 7 Cupid
  • 8 Farewell, My Darling
  • 9 It’s All Right
  • 10 Feel It
  • 11 Twistin’ The Night Away
  • 12 One More Time
  • 13 Bring It On Home To Me
  • 14 Having A Party
  • 15 Nothing Can Change This Love
  • 16 Somebody Have Mercy
  • 17 Baby, Baby, Baby
  • 18 Send Me Some Lovin’
  • 19 Frankie And Johnny

 

Sam Cooke The Complete Singles 1956-1962 (Le chant du monde/Harmonia Mundi)


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